mardi 7 août 2012

Comment les banques tiennent les Etats (et les citoyens) par les cojones

Je vous conseille cet excellent article, "Crise bancaire : on n'a pas fini de rire" d'Agoravox qui retrace le Dallas de la gestion des finances des Etats ( par nos dirigeants politiques et institutionnels), avec les monnaies, l'impact sur les citoyens, sans oublier nos chères banques toutes gentilles (Ah les belles publicités marketing).

Extrait : "[...] la pauvreté, (aux EUA) en progression constante, a atteint là-bas son niveau le plus élevé depuis 1965. Le taux de pauvreté serait de 15,7% de la population, soit 11.139 $ par an pour une personne seule (9.200€). Ainsi, « l’Université de l’Indiana qui estimait que le taux de pauvreté devrait logiquement continuer à augmenter, étant donné que les anciens emplois sont remplacés par des postes moins bien payés et que les Etats coupent de plus en plus dans leurs dépenses de solidarité ». Dans ce pays, la moitié des américains les plus pauvres détenaient… 1,1% de la richesse nationale, contre 2,8% en 2001. Encore un record. A l’inverse, « 1% des Américains les mieux lotis détenait ainsi 34,5% de la richesse du pays en 2010, contre 32,7% en 2001 »."



La suite de l'article "Crise bancaire : on n'a pas fini de rire", notamment sur l'Europe,
 c'est ici


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