mercredi 9 mars 2011
Louer un ami pour sortir
C’est un site américain qui permet de louer des "amis" pour aller au cinéma, au théâtre, à l opéra, faire du sport, etc… ou de se faire louer pour faire des sorties (eh non, ce n est pas un site de rencontre).
Le site a un succès énorme aux Etats-Unis d’Amérique a tel point que des personnes en vivent et confortablement. Bien sûr, les relations de location d’un ami doivent se faire dans un respect mutuel, honnête et franc.
En France, le site a ouvert une filiale, il y a 1 an, et je m’y étais inscris plusieurs mois auparavant, voire plus (eh oui, j aime bien toucher à tout :)
Je reçois un message d un contact féminin, cette semaine, qui veut mon téléphone ou que je la rappelle, je réponds positivement en lui demandant de préciser sa demande.
Je me suis dis que je donnerais cet argent à une association caritative pour commencer.
Il s agit d une journaliste qui fait une enquête sur rentafriend. Elle me question sur le nombre de requêtes reçues. Je lui réponds que je n ai reçu aucune demande en lui précisant que ce site est une filiale américaine, qui n 'a pas fait de publicité en France et est peu implanté. Le site français, contient très peu de profil français. Tous ces facteurs expliquent l’activité extrêmement plate de ce site en France, contrairement à son homologue américain.
A cela, j ajoute le fait que la culture française, ne doit pas partager cette liberté outre-Atlantique : payer de la compagnie amicale ( et pas sexuel).
Elle me dit que j avais indiqué dans mon profil un tarif de 20€ par heure. Je lui réponds, de mémoire, que j avais du indiquer la fourchette la plus basse car j avais fait mon profil depuis très longtemps et j’avais oublié certaines données renseignées.
Conclusion : Faites confiance au hasard pour agrandir votre réseau amical ou de connaissance en attendant que la filiale française prenne réellement naissance. Et si vous habitez chez l’Uncle Sam, allez chez Rent a Friend.
Et pour ceux qui veulent arrondir leur fin de mois, trouver autre chose.
Article du Time Magazine de 2010
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